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le spin-of de l'univers de Nanard

Derniers commentaires
le spin-of de l'univers de Nanard
20 novembre 2008

Ce blog est fermé

C'est parti c'est officiel,

Le blog nouveau est arrivé. Il n'est pas fini, mais comme je n'aime pas travailler sur deux blogs en même temps...

Je vous invite à rejoindre mon nouveau blog dont voici l'adresse.

Ce blog-ci ne fermera pas ses portes, mais plus rien de nouveau ne s'y passera.

http://nanardbe.chaosklub.com/index.php/

Merci de bien noter mon déménagement.

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20 novembre 2008

Je pars

Il va y avoir du changement sur ce blog. En effet, d'ici peu je partirai sous d'autre cieux.

rassurez-vous, je ne vais pas vous abandonner. Je vous communiquerai prochainement la nouvelle adresse.

Ce choix est motivé par plusieurs raisons. L'envie de changement, mais aussi les plus grandes possibilités que m'offrira l'hébergeur, un blogeur comme nous.

Je vous réserve quelque surprises, mais tout ça prendra du temps...

Sur ce, bonne journée

19 novembre 2008

Acrostichement vôtre

Comme il n'y a pas de raisons et que j'ai envie de faire une petite pause, je vous propose un petit acrostiche

Je vais donc vous proposer un petit délire à partir de mon pseudo

Nanard est grand

Amitié et passions son mes maîtres mots

Non, je suis unique

Alors, souvenez vous

Rien ne sert de venir

D'abord, vous devez savoir où vous vous rendez.

Belge je suis et Belge je resterai

Et finalement ce n'est vraiment pas facile ce genre d'exercice

16 novembre 2008

un poilu dans la boue 1/23

Au début de cette guerre cruelle, les médecins se montraient encore compatissant et paternel. La situation allait rapidement changer. Mais à cette époque j'avais encore ce sentiment de confiance, mélange de patriotisme et de naïveté qui habitait la plupart de mes camarades. Nous pensions qu'avec l'aide de l'armée française nous repousserions l'ennemi jusqu'au porte de Berlin. Je restais donc auprès de mon ami Gaston, à le veiller tel une mère surveillant son enfant.

Le bruit, la poussière et les vibrations dues au bombardement me gardait en éveil. Je ne pouvais m'empêcher d'haïr ces allemands qui, malgré que nous souffrions, que nous étions déjà pratiquement vaincus, continuaient encore et toujours à nous balancer des obus à chaque jour plus lourd. Semblant deviner ma rage, Gaston émergea de son coma, il me regarda sans dire un mot pendant de longues minutes, puis dans un effort qui lui parru sur-humain, me murmura quelques mots

- Allons Lucien, ne fait pas cette tête je ne suis pas encore mort, dit-il dans un chuchotement amical

- Tu m'as quand même fait une belle peur fis-je en souriant.

Notre conversation était entre-coupé par le vacarme des bombardements Certains obus passaient si prêt de nous que je pouvais sentir leur souffles. 

Il me fixa un long moment sans dire un mot, seul les canons venait perturber ces minutes d'échange visuel. Puis soudain, voulant répondre aux nombreuses questions que mon regard lui posait, Gaston essaya de me rassurer.

- Je sais que tu as peur pour moi, Lucien. Mais, dans ce conflit tu ne dois pas penser à moi ou à toi. Nous sommes ici pour la sauvegarde de la nation. Le roi lui-même prend les armes contre l'empereur. Nous ne pouvons pas le laisser tomber. Je suis certain que cette guerre ne sera pas longue. Quand les Allemands verront que nous résistons et que nous avons reçu l'aide de la France, il est évident qu'ils renonceront. Il faut tenir encore quelques jours, ensuite tout sera plus facile.

J'avais envie de croire, j'avais envie de lui montrer que notre résistance héroïque ne serait pas veine. Après tout, depuis une semaine que nous essuyons les tirs et les bombardements allemand, l'ennemi n'avait pratiquement pas avancé et on nous annonçait l'arrivée des renforts français pour chaque lendemain. La conversation que nous avons eue ce soir-là dans cette petite clinique du fort de Loncin changea ma vision de cette guerre. Jusqu'ici je me battais pour ma survie, à partir de ce jour je luttais aussi pour ne pas décevoir mon ami Gaston.

Notre conversation fut interrompue par l'arrivée du médecin qui me renvoya à mes devoirs de soldats. La dur réalité de la guerre m'obligea à oublier pour un temps l'état de santé de mon frère d'arme.

Dans la nuit du 13 au 14 août, vers trois heures du matin, l'armée allemande procéda à un long et terrible bombardement. Nous devions subir des tirs d'obus de 280 et 305 mm. Mes camarades et moi passions des moments effroyables, le fort tremblait du sommet aux fondations. Les vitres, les murs et le sol subissaient des dégâts incroyables. Une avalanche de fers s'abattaient sur nous. Pour ajouter à la cruauté de l'instant, le bombardement était espacé de deux en deux minutes, le temps du rechargement des canons. Durant ces périodes d'accalmies le silence au fort était oppressant. Certains d'entre nous priaient, mais pas un ne songeait à se rendre ou à quitter ce fort en perdition. Tous nous regardions le capitaine Naessens, attendant ses ordres pour les exécuter fidèlement et avec bravoure.

Après chaque explosions des projections de béton tombaient sur nos têtes. Nous les acceptions avec courages et résignations. Nous marchions sur des débris de verres, nous respirions de la poussière, nos gorges réclamaient sans cesse plus d'eau. Au fur et à mesure que les heures passèrent le fort se détruisait. Nous voyons notre fière forteresse se disloquer avec la régularité d'un métronome. Notre résistance, bien qu' héroïque était vouée à l'échec. Nous étions destinés à rejoindre dans l'histoire nos camarades de fort Alamo.

Dans la vie il y a des visages ou des images que l'on oublie jamais. L'instant que j'allais vivre marqua pour toujours mon existence. Sans véritable raison, je voulais observer de plus prêt nos agresseurs. Je décidais donc d'observer le bombardement depuis l'une des coupoles de tirs. Avec l'aide de mes jumelles je pouvais voir les gigantesques obusiers qui se préparaient à nous cracher leur mort. Une des machines attira plus particulièrement mon regard. J'observais donc un petit caporal allemand s'agiter autour d'un canon, il s'agissait d'un canon à 305 mm qui s'apprêtait à nous balancer l'un de ses boulets. Un sentiment étrange m'occupa l'esprit durant toute l'opération, comme si cet obus bien précis signifiait plus que les milliers d'autre que nous avons reçu. Je n'oubliais jamais le visage de l'homme qui a chargé le canon, ni celui qui a donné l'ordre de tirer. Cet homme, ce monstre, n'était pourtant pas ni plus grand ni plus petit qu'un autre, son visage aurait pu tout aussi bien être celui d'un de mes camarades aux forts, néanmoins dans mon esprit ce soldat état l'incarnation du mal, l'homme à abattre absolument. Un bref instant, grâce aux jumelles, je réussis à croiser son regard. A cet instant j'étais paniqué, les hommes, qui nous bombardaient, étaient bien réels. Il y avait de vie derrière chaque canon.

12 novembre 2008

jack Bye et la femme au couteau partie 2

Miss Peggy était vraiment la secrétaire idéale, belle, intelligente et serviable. Que demander de plus? Oh, je vois ce que vous pensez. Je ne couche jamais avec mes secrétaires, dû moins pendant le service. Après tout ce n'est pas de ma faute s'il la nuit elle se retrouve nue dans mon lit. Un jour il faudra que je l'épouse, si j'ai le temps.

Il se passa une bonne semaine avant d'obtenir les résultats des analyses que j'avais demandés. Je reçus un mail

signé par un certain Philibert Vancartier. Oui, ce nom m'a fait rire aussi. Dans sa prose, il m'expliquait que la vignette trouvée dans l'appartement indique trois initiales: P.E.C. ainsi qu'un mot : Mital.

Je décidais de commencer par une recherche sur internet. J'encodais donc le mot M I T A L dans le fameux moteur de recherche "Voyager" Mis a par les quelques milliers de sites classés X mon attention se porta sur deux adresses l'une était un restaurant, l'autre désignait une société de soins médicaux. Un rapide appel téléphonique m'appris que les initiales P.E.C. était apposé dans le domicile de toutes les personnes electro-captives.

La question qui se posait actuellement c'était de savoir ce que signifiait une personne "electro - capitives" et pourquoi elles devaient-être signalés 

La solution logique aurait été de téléphoner à la société pour savoir exactement ce que signifiait ce mot. Mais je n'avais pas envie d'attirer l'attention sur moi. Je n'avais pas envie de prendre de risque. Je voulais d'abord me rendre encore une fois dans l'appartement de cette femme afin d'y dénicher des indices.

C'est là que j'ai eu un flash. Vous savez une de ces rétrospectives que l'on vous montre dans certaines séries Tv? Eh bien cela m'est arrivé, un souvenir douloureux surtout pour elle.
Quand je parle d'elle, je veux dire la femme qui était retrouvée morte dans son appartement. Oui ce magnifique corps qui ma fait tout de suite de l'effet. En réalité, tout était claire.

Cette femme est effectivement électro-captive. Mais ce n'était pas la première fois que je voyais cette Clara Styroustov. Figurez-vous que j'ai fait sa connaissance via Internet. Oh ce n'est pas moderne comme méthode, mais ça marche. Après plusieurs soirées à discuter virtuellement, nous décidons de nous rencontrer. C'était il y a deux jours. Tout se passa très bien, au point qu'elle me proposa un dernier verre chez elle. Quand une jolie fille, intelligente et agréable à l'audition aussi bien qu'à la vue, vous demande de prendre un verre chez elle, vous espérez naturellement un petit quelque chose d'autre. Et oui, chère lecteurs que celui qui n'y a jamais pensé me jette le premier drap de lit. Mais vous le savez déjà, la soirée ne s'est pas terminée comme espéré. Sans doute l'émotion d'être avec moi, elle s'est mise à attirer vers elle, tous les objets magnétiques ou ferreux" de l'appartement. C'est fou ce qu'il y en a. Et des plus dangereux. J'ai essayé de fuir évidemment. J'y suis d'ailleurs probablement arrivé. Ce qui est arrivé à Clara je l'imagine bien, elle a dû attirer à elle un couteau qui s'est planté dans son dos et l'a tué. Pourquoi elle était nue quand la police la retrouvée, pourquoi j'ai perdu tout souvenir d'elle? Ce sont des questions sans importance. Ce que je retiens de cette histoire c'est que j'ai résolu le plus facilement du monde un mystère. Mais peut-être pouriez-vous m'en dire plus?

Qu'en pensez-vous docteur?

Fin

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31 octobre 2008

Jack Bye et la femme au couteau: partie 1

Pour me vider un peu la tête voici une petite histoire.

Allô Jack? Ici l'inspecteur David Mc Gyl Pouvez-vous me rejoindre au 325 Boulevard de l'empereur? Je vous attends.

Des appels téléphoniques de ce genre, j'en reçois une dizaine par semaine. Alors, comment s'étonner lorsqu'un inspecteur de police, mais néanmoins ami téléphone au meilleur détective privé du pays? Oh je sais ce que vous direz, Jack Bye a autant de chance de résoudre une affaire qu'un traider de donner de l'argent au pauvre. Pourtant, c'est un fait, je suis le meilleur! D'ailleurs n'ais-je pas donné satisfaction lors de l'affaire Miss Tylor?

Avec l'assurance d'un joueur de foot lors des tirs aux buts, je me rendis donc dans la rue à la hauteur dite.

Je me retrouva devant une horde de policiers et de journalistes. Les uns essayant d'empêcher les autres de rentrer dans le bâtiment. La seule présence humaine ce jour-là était les quelques curieux qui se trouvaient sur le trottoir d'en face.

Je me fraya un chemin et m'informa auprès d'un inspecteur de police sur la situation.

j'appris qu'il y avait eu un mort au troisième étage de l'immeuble et rejoignis David aussitôt.

- Ah te voilà enfin Jack, me lança Mc Gyl, j'ai vraiment besoin de toi.

Il m'invita à entrer dans l'appartement. Je constatais directement les traces de sang sur le sol

- qui habite ici demandais-je

- Une certaine Clara Styroustov, on la retrouvée morte sur le divan 

Rien d'extraordinaire à cela répliquais-je. Il faut dire qu'une femme, morte dans son appartement avec un coup de couteau dans le dos - oui, je ne vous l'ai pas encore dit, mais elle a reçu un coup de couteau dans le dos - C'est tout ce qu'il y a de plus banale. On ne dérange pas le plus grand détective du pays pour si peu.

- C'est qu'il y a quelque-chose que vous ne savez pas encore.

David me désigna le corps de la jeune femme, elle ne devait pas avoir plus de vingt-cinq ans, couchée sur le divan, nue comme un ver avec un couteau planté dans le dos. Fort joli couteau d'ailleurs, il ressemblait au couteau chinois dont on fait la publicité à la télévision. Vous savez? Ceux qu'ils ne faut jamais aiguiser. Manistestement, la publicité n'est pas mensongère. Il n'y avait pas que le couteau qui attirait le regard, le corps de la jeune fille était aussi fort plaisant à regarder. Je sais ce que vous pensez, si elle n'était pas morte j'aurais peut-être pu envisager de conclure. D'un autre côté si elle n'était pas morte je n'aurais jamais pu la voir nue. Enfin, elle est morte et nue et moi je suis vivant et habillé. Nous n'avons pas toujours ce que nous voulons.

Comme je vous le disais, cette femme n'avait rien de particulier et je ne comprenais pas pourquoi David m'avait appelé.

- Vois-tu, dit-il. Nous n'avons relevé qu'une seule empreinte sur le couteau et elle provient de la main. De plus l'angle de pénétration du couteau ainsi que la position du corps montre qu'elle s'est bien poignardée dans le dos.

- Drôle de suicide ça. Et pourquoi elle est-elle nue?

- Ce n'est pas le plus important. Si tu étais attentif, tu aurais remarqué que l'appartement est en chantier, comme s'il y avait eu bagarre et la porte d'entrée a été fracturée.

- Elle aurait simulée une agression avant de se planter un couteau dans le dos?

J'avais beaucoup de difficultés d'imaginer la scène, pourtant, en regardant la pièce plus attentivement, je pouvais constater différents objets sur le sol ou planté dans les armoires. Visiblement son agresseur était un fan du lancer de couteau et d'objets métalliques. Des Ciseaux, des clous, des cuillères, des fourchettes, des casseroles,...

Je remarquais aussi une petite étiquette autocollante et délavée placée sur l'une des vitres du salon. Je demandais une analyse au pauvre agent de la police scientifique

Le meilleur moyen de s'assurer le bon service de ses troupes, c'est de leur donner un travail valorisant.

Voilà pourquoi j'ai toujours un petit travail valorisant pour les scientifiques.

Après un dernier regard en direction du magnifique cadavre, je décidais de rentrer dans mes bureaux.

Miss Peggy m'y attendait avec un bon café. Je crois vous avoir déjà qu'elle aussi, bien que vivante, était fort jolie.

Un sourire ravageur, deux yeux bleu somptueux, elle avait tout pour elle.

29 octobre 2008

Un poilu dans la boue 1/22

Les périodes d'accalmie se faisaient de plus en plus rare, nous commencions à être submergé par l'étendue des dégâts. Nous courrions, tel des marins essayant de sauver leur navire, afin de boucher çà et là des ouvertures béantes causé par les bombardements. Nos vies étaient réglées par les attaques de l'ennemi. Chaque bombardement était espacé de périodes plus calme d'une dizaine de minutes qui semblaient interminables. En temps de guerre, parfois, le silence est plus destructeur que les bombes, les moments de silences jouaient de plus en plus sur mon moral. Je me demandais où et quand le prochain obus allait atterrir. Je priais le ciel qu'il ne tombe pas trop prêt de moi. Vers la fin de la soirée du 13 août 1914, le capitaine Naessens m'ordonna une fois de plus de réparer autant que possible les palissades. Comme toujours, mon ami Gaston m'accompagnait. Nous étions tous les deux sur un petit muret en béton à proximité de l'entrée du fort quand une nouvelle détonation sourde retenti dans la nuit. Il s'en suivi, comme d'habitude un long sifflement. Dans ce genre de situation nous avions deux solutions, soit courir le plus possible pour nous mettre à l'abri et prier pour choisir le bon abri, soit rester et continuer notre travail en espérant que l'obus nous évite. C'est pour le second choix que nous avons opté et nous sommes restés, inconscient du danger. Cette fois là, Gaston n'eut pas de chance. L'obus, d'un petit calibre percuta le mur sur lequel nous étions occupés à effectuer des réparations. L'impact nous fit tomber des deux mètres sur lesquelles nous nous trouvions et nous fit perdre l'équilibre. Mon ami et moi, nous nous retrouvions tous deux à terre. Après un bref moment d'étourdissement dû au choc, je me redressa pour porter secours à Gaston resté au sol et la jambe broyé par un gros morceau de béton 

Il hurlait comme un forcené, il essaya à plusieurs reprises de se dégager, mais le poids, la panique et la douleur l'empêchait de se redresser.

- Un médecin ! Vite, brancardier ! Criais-je en direction du fort afin d'avoir du secours

Le bruit des canons, couvrait ma voix et le pauvre Gaston dû attendre un bon quart d'heure avant d'être secouru. Il s'était évanoui à cause de la douleur, sa jambe était couverte de sang, son pantalon était devenu rouge vif. Les brancardiers prirent mille précautions pour le conduire à l'infirmerie. C'est le Docteur Courtin qui prit en charge mon ami. J'avais des dizaines de questions à lui poser, j'étais prêt à lui donner mon sang ou n'importe quelle partie de mon corps si cela pouvait le guérir.

- Il a la jambe broyé fit le docteur en l'examinant. Je crains d'être obligé de la lui couper.

- Non ! lui hurlais-je en oubliant les grades ou toute hiérarchie. Gaston a le droit le marcher.

- Je vais voir ce que je peux faire, mais je ne vous promets rien, dit-il en me posant la main sur l'épaule. Ses gestes et son regard avaient quelque-chose de paternel qui m'a mis en confiance. En sortant de l'infirmerie, j'étais certain que mon camarade s'en sortirait.

Après son opération, je reçus l'autorisation de rester quelques heures auprès de mon ami afin de lui porter des soins. Il faut dire que nous avions un si grand nombre de blessés, qu'une aide en plus n'était pas superflue.

24 octobre 2008

Blog à découvrir

Je vous propose de découvrir le journal de cyrielle.

Où ça? ici Vous pouvez y allez les yeux fermés, c'est vraiment très bien...

Comme toujours, pour les distrait, vous retrouverez le lien dans ma petite liste ;-)

Allez, hop on y va

23 octobre 2008

Jouons ensemble

Jouons un peu:

Regarde devant toi, ferme les yeux et pense à ce que tu veux

Décrit ta vision

écrit un petit texte en rapport avec ce que tu as "vu"

Donne l'adresse de trois blogs à qui tu destines ce texte.

N'oublies pas de les prévenir :-)

21 octobre 2008

sondage : Pour ou contre la publication du Poilu

la question mérite d'être posée.

Afin de savoir si oui ou non je dois publier l'histoire du poilu. Certes elle n'est pas totalement terminée, ceci-dit, elle se termine.

Alors, je vous pose la question: pour ou contre la publication, autrement dit, pensez-vous que cette histoire mérite une publication?

C'est très important pour moi d'avoir une réponse

merci d'avance

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